La liberté est un bien infiniment précieux, un privilège, une chance. Cette liberté est aussi synonyme de solitude, dans les mauvais jours.Dans l'incertitude d'être amoureuse en ce moment, je me rends compte qu'il n'y pas que vivre à deux, en famille, avec des enfants, qui prive de liberté. Aimer, c'est déjà renoncer à une part de liberté.
Mais je ne suis pas sûre que ce soit une mauvaise chose : je me dis tout doucement que se sentir un petit peu appartenir à quelqu'un d'autre a quelque chose de très doux, de confortable, de rassurant et de plaisant. Pas forcément, ou pas encore, aliénant.
Et puis la liberté pour quoi faire ? Qui sait vraiment l'utiliser ? Qui en profite tout le temps, tous les jours, comme une condition sine qua non de bonheur vrai ? La vraie liberté, c'est peut-être de connaître et de savoir gérer ses dépendances. De ne pas y être totalement assujetti tout le temps, tous les jours...
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1 commentaire:
Il faudrait d'abord pouvoir définir la Liberté. Hélas, l'on s'apercoit bien que l'on n'est jamais libre. Nous vivons à coté les uns des autres et donc ne sommes pas libre de tout faire. Cela a été très bien formulé "notre liberté s'arrête où commence celle des autres". L'on ne peut donc pas en profiter tout le temps, d'autant plus dans le domaine de l'amour ou il faut etre deux.
Un amour auquel les notions de réciprocité et de confiance s'appliqueraient totalement doit permettre la liberté de chacun. Cela peut rejoindre le thème de la séduction, sans préjugés, sans bouleverser son couple, chacun se sentant libre aussi parce que aimé et respecté par l'autre. Une utopie ? croire que dans un tel couple, cela est possible. Un tel couple existe-t-il ou bien très vite, jalousie et possession reprennent l'ascendant pour le miner et le détruire. L'un se sentant lesé par rapport à l'autre.
La liberté serait alors simplement de ne pas se sentir prisonnier, ce qui parait évident lorsque l'on aime la personne.
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