La nuit vient de tomber pour la dernière fois de l'année 2006. La prochaine fois que nous verrons le soleil, nous serons en 2007. Il ne s'agit que de quelques heures, bien peu différentes des nuits précédentes, mais sur le plan symbolique pourtant, celle-ci résonne autrement. Une nouvelle année c'est un nouveau départ, c'est le début d'autre chose, une perspective d'avenir ; voilà sans doute à quoi sert le calendrier. Bergson explique, je crois, que le temps et la durée n'ont pas grand chose à voir : le temps est une donnée objective, linéaire, tandis que la durée est notre perception subjective du temps et sans doute la seule que nous ayons.
Si cette année s'achève en marasme pour moi, l'ensemble de l'année a été positif et constructif ; et si 2007 s'ouvre sur beaucoup d'angoisses, je veux croire aux bonnes surprises, aux découvertes enrichissantes.
Cela a l'air très con, mais je crois que ce qui compte c'est d'aller toujours de l'avant. Le pire comme le meilleur ont cette vertu commune. Il n'est rien de pire que l'immobilisme ; l'immobilisme c'est la mort. On a tous des épreuves à vivre, nul n'est épargné. Tant qu'il y a de la vie, il y a de la force.
En avant 2007.
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