Dans ces grandes et longues vacances, la lecture est mon passe-temps quotidien. Histoire de n'avoir pas le sentiment d'avoir complètement perdu mon temps, j'en fais le bref répertoire :
- A. Nothomb, Les Catilinaires : court, distrayant, pas impérissable.
- D. Simmons, Les Fils de ténèbres (relecture) : toujours aussi génialissime.
- J. Irving, Un Enfant de la balle : pas pu dépasser les 100 p., grosse déception.
- P. Besson, Un instant d'abandon : l'histoire d'un retour dans un village perdu d'Angleterre, après un séjour en prison, pour l'homicide d'un enfant. Pas mon préféré.
- F. Vargas, Sans feu ni lieu : un polar sans Adamsberg, donc il y manque quelque chose mais bien quand même.
- P. Besson, Se résoudre aux adieux : le dernier, une histoire après une rupture. Décevant.
- T. Capote, La Traversée de l'été : une triste histoire d'amour newyorkaise entre une jeune bourgeoise et un jeune homme pauvre.
- Anne Perry, La Marque de Caïn : un polar dans l'Angleterre victorienne. Pas inintéressant.
- P. Besson, En l'absence des hommes (relecture) : toujours aussi magnifique, voire encore davantage.
- Arnaldur Indridason, La Femme en vert et La Voix : de l'excellent polar islandais (sans valoir Mankell cependant).
- T.C. Boyle, Water music (en cours) : épopée très touffue d'un explorateur écossais au XVIIe s. à la poursuite du Niger. Je ne me laisse que moyennement emporter.
Rien de bien marquant jusque-là. Ce sont les polars islandais dont je garderai sûrement le meilleur souvenir.
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