Il y a des livres qui parlent de froideur et qui vous remuent, et d'autres qui vous laissent de marbre. Une soif d'amour entre pour moi dans la seconde catégorie.
J'étais attirée par le biais de Marguerite Yourcenar, dont j'ai appris la le grand intérêt pour cet auteur ; et par la curiosité pour un pays et une culture qui m'intriguent de plus en plus. Déception. Je ne me suis pas sentie immergée dans un véritable exotisme, malgré l'histoire qui se veut exemplaire, selon les critiques, de la société japonaise. Histoire d'amour froide entre une veuve et un jeune domestique, dont je n'ai pas perçu l'originalité ni la profondeur. Il faut dire que tout le récit était en fait raconté par la quatrième de couverture et qu'il semblerait que le texte que j'ai lu ait été traduit de l'anglais lui-même traduit du japonais (NRF Gallimard). Ceci explique peut-être cela.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire