Un aveu d'abord : je ne l'ai pas lu en entier, mais un peu plus de la moitié. Si je souhaitais lire du Hemingway, c'est parce que j'avais entendu souvent qu'il s'agissait d'un auteur majeur, maître de beaucoup d'autres, une référénce. Si j'ai souhaité lire celui-là, c'est parce qu'il se situe pendant la première guerre mondiale, période qui m'intéresse particulièrement. Je m'attendais donc à tout gagner, mais non !
Concernant l'aspect historique, il est en toile de fond et peu perceptible. Il faut dire que le héros n'est pas soldat mais ambulancier, qu'il se retrouve longuement à l'hôpital et, selon la 4ème de couverture puisque c'est là que je me suis arrêtée, il s'enfuit avant de retourner au front. La Chambre des officiers, de Marc Dugain, est bien plus édifiant. Mais la plus grosse déception concerne l'histoire : j'ai trouvé les dialogues d'une totale bêtise, ce qui ne peut être imputable à la seule traduction, l'histoire relativement ordinaire, les propos sans intérêt. Bref, je n'ai pas du tout décelé le génie vanté, loin de là.
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