Il est un peu plus de 22 heures ; j'étais sagement en train de lire un polar dont l'action se passe au Moyen Orient lorsque plouf tout s'éteint. Ce n'est pas la première fois que cela m'arrive, sauf que cette fois, c'est pas ma faute ! Tout est plongé dans le noir autour de chez moi, ou presque puisque la lune presque pleine projette sa lumière crue et blanche sur les maisons et le sol au-dessus duquel flottent les volutes d'air givrant.
J'écris à la lumière de l'écran de l'ordinateur, avant que la batterie ne rende l'âme... C'est angoissant, cette absence d'électricité inexpliquée. Et mon chauffage fonctionne à l'électricité... hum... Je vais aller me réfugier sous ma couette, pour faire comme si le noir était un choix délibéré. Et poursuivre dans mes rêves l'enquête au confins du désert syrien.
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1 commentaire:
pas de chances, mais que de beaux rèves...
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