Voilà, le ministre a revu sa copie : Garfieldd écope d'un an de suspension, dont 6 mois avec sursis. Il réintègre l'Educ naze le 4 août prochain.
C'est une victoire dans la mesure au regard de la sanction initiale : là-haut, on a quand même fait machine arrière.
Mais la sanction reste sévère, toujours contestable et dérangeante. Quoi qu'il en soit, sans doute vaut-il mieux garder toute cette histoire en mémoire : pour Garfieldd d'abord, parce que le sol doit toujours vibrer sous ses pas après ce séisme et que 6 mois de suspension, ce n'est pas forcément facile à envisager. Et puis parce que ce séisme n'est certainement pas un "hapax" (quelque chose qui n'apparaît qu'une fois) : il est la partie immergée d'un iceberg au milieu de la banquise. Et ne nous leurrons pas : le ministre n'a pas fait de mea culpa (Garfieldd n'a même pas été reçu par quelque instance mais informé par une secrétaire), il a seulement cédé au raz de marée médiatique. Alors restons vigilant.
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