02 décembre 2006

Chronique philosophe (hic) (1) : les grandes périodes

Ah ! Apprendre !... Comprendre !... Découvrir !...
J'ai acheté, il y a quelques semaines de cela, La Philosophie pour les nuls. Et voilà, j'en démarre la lecture. Pour m'aider à en tirer une substantifique moëlle, à en retenir des bribes, à en goûter la signification, je me suis dit : pourquoi ne pas faire comme pour mes lectures un compte-rendu régulier dans mon blog ? Cet exercice fait travailler ma mémoire et mon esprit critique. Je n'ai nullement l'ambition de donner des cours de philo ! Seulement celle de faire faire un peu de gymnastique à mon cerveau...

L'introduction trace les grandes périodes le l'histoire de la philosophie, notant au passage que ce domaine est souvent en retard par rapport aux autres mais c'est peut-être logique si l'on considère qu'elle naît de l'observation.
Les premiers philosophes se caractérisent surtout par des préoccupations métaphysiques et cosmologiques et Socrate vient rompre au Ve s. av. JC cette première forme en s'intéressant à des questions plus pratiques, plus "terre à terre", comme le bien et la justice.
La période médiévale constitue une rupture avec l'avènement du christianisme : la pensée est bouleversée par l'idée de Dieu créateur, de foi, de vie après la mort, etc...
Le XVIIe s. et le XVIIIe s. voient un changement marquant dans la philosophie avec l'entrée en scène de l'étude de la nature, de l'individualisme.
Le XIXe s. se démarque par une multiplication de philosophes majeurs et des pensées sur le monde. Le XXe siècle, et à plus forte raison le XXIe s., est encore plus difficile à percevoir dans son ensemble mais ne manque pas de philosoph(i)es.

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