08 août 2006

Farniente

Je ne croyais pas parvenir à un tel point à ne rien faire... Les journées se déroulent dans l'inaction la plus totale, je reste seulement vissée à ma chaise longue comme une moule sur son rocher, encéphalogramme plat. Je ne lis même plus de livres mais des bandes-dessinées. D'ailleurs, j'ai rien à dire...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Contrairement à l'idée répandue par un film antique, c'est parce qu'on a rien à dire qu'il faut le faire savoir; ne serait-ce que pour trouver l'écho indispensable propre à vous rassurer sur la présence de la multitude, qui d'habitude vous agace, mais à qui, cette fois, vous trouvez un certain attrait mêlé de curiosité.